NIKIA.

NIKIA
La plus profonde sagesse est enfouie en toi. Chercher et tu trouvera.

Prénom : Nikia
Surnom(s) : Niki / Redeye / A vous de trouver ^^
Âge : 5 ans

Histoire :
« Maman ! Belle boite, je ne veux plus d'elle ! » Cria une jeune fille, elle semblait hystérique.
« Mais, tu en es sûre ? C'est irréversible ! » Souffla la jeune femme à sa jeune fille.
« Oui maman ! Je ne pourrait plus la monter tant qu'elle boite et je veux monter ! » Cria-t-elle à sa mère. Cette fille était pourrie gâtée, elle n'avait que 9 ans ... La mère ne disait plus rien et appelait donc quelqu'un. Mais pourquoi ? Qu'avais-je fait ? Bonjour ! Je suis là, oui,ici. Je m'appelle Belle, j'ai 2 ans. J'ai été débourrée il y a un an, a vrai dire, ma cavalière ne voulait pas attendre. J'ai été sevrée beaucoup trop tôt ! Ma mère me manque terriblement et cette fille me fait mal en me cravachant. Mais comment cela à commencé ? Je suis née d'une magnifique jument blanche, ses yeux étaient bleus. C'était la plus belle de toute, d'après moi. Mon père était un puissant étalon gris pommelé. Ses yeux étaient bruns et il se faisait respecté par tout le monde ici. Oui, nous sommes dans une écurie, une très grande écurie ! Le premier soir, alors que je marchais à peine, cette fille vint me voir. Elle était beaucoup plus grande que moi et faisait semblant d'être gentille. Ce qui me peinait, car plus tard, j'appris que cette cavalière , qui pouvait avoir du mérite, battait ses chevaux. Je ne fut pas la première, et je ne serai pas la dernière,c'est sûr ! Je ne voulais pas l'approcher, moi ! Mais ma mère m'encourageait, vivement d'y aller. Sinon, me disait-elle, elle crierait et ses cris perçant faisaient mal aux oreilles. Si,si, je l'ai déjà entendu crier ! Avec prudence donc, je m'approchais de cette grande bête à deux pattes. Je les appellerai souvent comme ça, les humains, les bipèdes ... Ils n'ont rien de bêtes innocentes ! Que du contraire ! M'apprenant à me mettre le licol, je fut surprise que ça serre aussi fort ! Me cabrant donc, je réussissais à échapper à la jeune fille qui pourtant, me courait après. J'avais l'avantage, avec quatre jambes et elle qui n'en avait que deux ! J'henis un instant au secours. Personne ne venait ! Pourquoi personne ne venait au secours d'une pauvre petite pouliche de quelques jours ? Tout le monde me regardait si intensément, que j'en eu peur. Quand j'arrivais au bout de la prairie, je fus bloquée par les barrières, et elle qui arrivait toujours plus vite ... Je fis mine de lui foncer dessus, surprise, elle se retira. Moi qui avait dévier ma trajectoire ! Je pu revenir donc vers ma mère qui me regardait inquiète. Elle me débarrassa du licol et toutes deux, nous partions vers un nouvel endroit. Lorsque la jeune cavalière arrivait enfin, nous avions déguerpit et elle criait. Mes oreilles me faisaient mal ! Ma mère me sermonna alors, mais je n'en tenais compte ... ! Quelques jours passèrent, puis quelques semaines, quelques mois ... Un an passa, si rapidement ! Ma mère me fut enlevée, malgré mes protestations timide, et je me retrouva seule au prés. Ne voulant pas manger, je me faisais mourir de faim. Et voici la jeune cavalière qui arrivait, décidée vers moi. Mais j'avais changé. Les souvenirs qui me revenaient à la vitesse de l'éclair ne faisait qu'accroître la haine forgée en moi. Je me cabrait donc une nouvelle fois. Devenue une grande et magnifique jument, j'étais puissante. Elle eu un mouvement de recul et heureuse, je recommençais encore et encore à la chasser.
«Viens ici, jument des Iles ! » Glissa-t-elle froidement avec le regard glacial. Je ne compris pas tout sur le coup, mais je savais que je devais me laisser faire. Elle allait le payer cher, très cher ! Mais ce que je ne savais pas, c'est que c'était une jeune fille qui avait débourrer des chevaux plus coriaces que moi ! Elle m'emmena donc dans la clairière, moi docile. Je la regardais d'un air de défis. Ce qui marcha à la perfection, car elle s'approcha de moi, aussi décidé à le gagner, ce défis ! Je me cabra en avançant, comme une bonne jument de cirque. Je ruais des membres, je faisais tout pour l'impressionner ! Ce qui marcha au début. Mais elle comprenait vite, car elle avait comprit que je ne voulais lui faire de mal ! Les heures passèrent, et moi, fatiguée, je ne voulais plus me cabrer ni ruer. Ce que je pouvais utiliser, c'était mes dents qui étaient fins et tranchants. Puis, une heure passa encore, et elle gagna. Elle souriait pour la première fois de sa vie, enfin de ma vie. Elle alla prendre une selle, un bridon. Elle prit donc la selle, mais avant, elle prit un tapis de selle qu'elle installa sur mon dos. Quand à la selle, je la sentit passer car elle me la tapa violemment sur mon dos endoloris. Elle installa quelques barres, de quelques centimètres. Mais moi, n'ayant jamais sauté de ma vie, je ne savais pas comment m'y prendre ! Ma jeune cavalière risquait donc de se retrouver par terre ! Elle mit une chose noire, une bombe je crois, sur sa tête et me mit le bridon. C'était horrible le gout que ça avait dans la bouche ! Le métal froid entrait en contact avec ma langue rose et chaude, c'était vraiment désagréable ! Elle me donna des grands coups de talons, pour m'obliger à avancer. Je me mis au trot, c'était la seule chose que je savais faire pour l'instant avec un humain sur le dos ! Mais elle m'obligea à galoper. Là, j'ai cru que j'allais tomber, mais je gardais équilibre et ce fut magique, je mis toute ma puissance en moi et elle avait l'air d'apprécier ça ! Puis, elle me dirigea subitement vers un obstacle. Je le regardait et observait la meilleure façon de le franchir. Ne le sentant pas, je préférais donc m'arrêter net plutôt que de m'essayer à ce ... truc ! Elle, elle s'agrippait tant bien que mal, et me cravacha avec cette chose longue et qui fait mal ! Je me mit à avancer, puis, lorsque j'arrivais devant l'obstacle, je le franchissait donc sans regarder, de peur de me retrouver à terre. Et pourtant, je le franchissait avec souplesse et grâce, car ma cavalière me fit un compliment. J'en fut réduite au silence, car je ne m'y attendais pas ! Et on recommençait, encore & encore ! Je fus tellement fatiguée et las que je ne savais plus sauter des barres de 20 centimètres ! Je les faisaient toutes tombées, mais ce n'était pas de ma faute ! Elle me doucha une bonne fois, me brossa, et me relâcha en prairie. D'ailleurs, elle prend soins de ces chevaux, enfin, pour ce qui s'agit du pansage ! Une fois en prairie, je ne pris même pas le temps de galoper un coup, je m'ébrouais et m'écroulais à terre. J'étais toujours aussi faible et je ne tenais plus debout. Il était tard, je m'endormis donc sur place. Le lendemain, alors que je dormais comme une souche, la jeune fille criait mon nom, pour me réveiller. J'étais si près d'elle ! Je me réveillais en sursaut et couchais les oreilles. En montrant les dents, je m'aperçus donc que c'était ma jeune cavalière. D'un coup, je me radoucissais. La journée fut comme celle d'avant. L'obstacle et toujours de l'obstacle. Pourtant, je sautais si bien qu'elle demandais à sa maman si je pouvais participer à un concours Junior. Je ne savais pas ce que c'était. Et pourtant, quelques jours plus tard, j'y étais. C'était remplis d'un tas de pouliches, poulains et chevaux que je ne connaissais pas. A chaque inconnu, je montrais les dent,s même sous peine de recevoir une claque de la part de ma jeune maitresse. Tant pis, ils l'avaient cherché, aussi !

Je regardais depuis mon écurie les autres chevaux et les parcours. Le parcours ! Ma jeune maitresse m'avait dit qu'on passerait en 10e et que c'était une bonne place. Elle s'affairait déjà à préparer ma selle et mon bridon, nous allions bientôt passer. Puis,quelques minutes plus tard, j'étais fin prête, je tremblais tellement ! J'avais peur de passer devant tout ces gens qui allaient me juger ! Puis, elle montais sur mon dos, et m'accompagnait vers le paddock d'entrainement. Tout conte fait, on avait encore un bon vingt minute pour s'échauffer ! Je sautais bien, très bien même ! Si bien que les gens me regardaient et les chevaux aussi. J'avais peur mais la jeune fille me disait de rester calme et de ne pas stresser ! Je ronfla des naseaux puis, lorsque vint notre tour, je refusais nettement d'avancer ! Elle me disais des mots doux pour me réconforter, mais on ne réconforte pas la peur ! Un homme à pied vint me prendre par les rênes, mais j'étais têtue. Finalement, je me risquais dans cette aventure. Je regardais partout autour de moi. Je fermais les yeux et m'élança, guidée par ma cavalière. Les quatre premiers obstacles étaient tout bête, le cinquième plus dur déjà mais les six autres montraient que les humais n'étaient vraiment dégueulasse ! Comment voulez-vous que nous, chevaux, sautions cela ? Nous ne sommes pas humains, mais tout de même, un peu de respect ! Je finissait quand même en beauté. Quand l'heure du podium sonna, nous décrochions la 2e place. Ravie, ma maitresse me flatta l'encolure. Elle n'était pas si mauvaise que ça après tout ! Pensais-je ... Une fois de retours en prairie, comme si je ne m'étais pas assez crevée, je poussa la note, après un hennissement tu tonnerre, je prenais le galop à fond de train, jetant de temps en temps quelques ruades. Et Comme ça, les années passèrent. J'avais trois ans quand elle me fit pouliner. J'eus un fils que je n'eus pas le temps de voir grandir. C'était un magnifique alezan destiné au saillies. Au moins, il ferait de magnifique champion puisqu'il avait hérité de ma beauté, mon physique et de mon intelligence. Il n'avait pas hérité grand chose de l'étalon sinon de sa vantardise ! Puis le jour vint. Le jour où je boitais car elle était devenue radine. Le jour où elle voulut me changer contre une autre jument rien que parce que je boitais ! Je savais qu'elle m'aimait, mais cette maitresse était diabolique ! Très diabolique ! Donc, un camion arriva et les humais discutèrent ensemble ; la maman et le monsieur qui venait d'arriver. J'entendis des hennissements dans le camions. Mes oreilles tressaillirent et regardèrent vers le camion. D'autre chevaux étaient là. J'entendis quelques paroles des humains, j'étais si intriguée ...
« Elle veut ... débarrasser ... d'abord vendre ? » disait la mère.
« D'abord vendre ! » Répondait l'homme.
Et il s'approcha de moi, et me regarda, baissant la tête.
« Belle vête, dommage ! » Soupirait le vieil homme.
Il m'embarqua dans le camion. Dedans, ça puait la mort et le sang, oui, déjà des chevaux étaient morts. Ça me dégoutait. Mais qu'allait-il faire de nous ? Je ne savais pas, mais j'étais mal en point, moi aussi. Comme tous les autres. Pendant le trajet, je sympathisais avec d'autre chevaux. Notamment avec une petite ponette bai foncé. Elle me parlait du comment du pourquoi elle était arrivée là. A mon tour, je lui disais pourquoi j'étais là. Elle disait que le monsieur allait nous vendre, pour qu'on s'en tire. Effectivement, quelques heures plus tard, nous débarquions dans un marché pour nous vendre. Mais personne ne voulait de nous, car nous étions sale et mal en point, même si beaucoup de gens étaient impressionné par notre saleté et notre mauvais état. J'étais dégoutée des humains à jamais, s'en était sûr et certain ! Puis, l'homme nous remit dans le camion. Bizarre, aucun de nous fut vendu. Et le chemin reprit, comme si de rien était. Mais j'étais sûre que le conducteur du camion complotait quelque chose. Quelques heures plus tard, le camion était remplis de chevaux mort, il sentait le sang et la puanteur de la mort. Nous n'avions ni à boire ni à mangé. Comment voulez-vous qu'on sache ce qui allait arriver ? Puis, un par un, il nous descendit dans une salle, on était tous les uns su les autres. D'abord, il prit la ravissante ponette, mon amie. Elle n'en revint jamais. Plusieurs fois hennissais, mais rien. Alors, ce fut à mon tour. J'entrais dans un couloir, dans une pièce presque noir. Soudain, quelque chose me pique. Je luttais longtemps encore,vous savez. Mais cette aiguille, elle m'endormait ! Au moins, ce fut une mort douce ... Mais je décidais alors de m'appeler Nikia, c'était mieux que Belle, je n'étais plus belle à cet instant ...

Caractère : La jument ébène est assez impétueuse et sadique, sachant qu'elle est méchante et assez immature dans ses moments, il vaut mieux ne pas la contrarié. Tueuse professionnelle et entretient cette rumeur, elle tuait beaucoup de chevaux et en tue beaucoup encore aujourd'hui. Aucune honte pour elle a cela. Malgré l'âge, elle reste en forme mais est moins immature que dans son âge ou elle tuait fréquemment. Impatiente et joyeuse, voila ce qu'elle peut-être, mais seul une poignée de chevaux savent faire ressortir ce côté assez joyeux de la jument ébène. Elle est aussi sage et mature lorsque l'envie l'y prend ou bien elle aime aider d'autres chevaux en difficulté,bien que cette partie de la jument ne sorte que très rarement. Pourtant,celle-ci malgré ces autres facettes peut être aussi sadique que l'on puisse l'imaginer. Mais c'est très facile, lorsqu'elle s'énerve, vous en serrez avertit de ces yeux qui deviennent rouge. Inhabituel et pourtant. Passant de sadique a extrêmement gentille et de tragique a légèrement tragique,cette jument vous réserve pleins de surprises. Bonnes ou Mauvaise ?

Comment as - tu connu HG ? Par N'admine ^^
Code du règlement : ( Okk' )

Ma signa =D

Bienvenue &&' Tu peux jouer =)